MONTRÉAL, le 9 mars – Contrairement à ce que laisse entendre un reportage de TVA, Alain Pigeon directeur-général adjoint de la FTQ-Construction n’a rien à se reprocher à l’égard de sa participation dans l’entreprise Gestion immobilière P.O.P.

Tous les observateurs initiés de l’industrie de la construction savent très bien qu’Alain Pigeon fait l’objet d’une campagne de salissage orchestrée par des opposants politiques. Le directeur général de la FTQ-Construction, Richard Goyette réaffirme sa pleine confiance à l’égard de l’ensemble des membres de son équipe dont Monsieur Pigeon est l’un des principaux piliers. « Depuis un an toutes sortes d’allégations sont entretenues contre la FTQ-Construction, mais aucune accusation à ce jour n’été portée contre elle« , affirme Richard Goyette.
Pour la FTQ-Construction, il est évident que, monsieur Pigeon n’a jamais contrevenu à la loi régissant le bâtiment au Québec et nous sommes confiants que l’avenir le démontrera sans l’ombre d’un doute.
Les faits
À l’égard des dossiers mentionnés par le journaliste aux bulletins de nouvelles de TVA, plusieurs allégations doivent être impérativement rectifiées.

M.Pigeon n’a jamais agi, de près ou de loin, comme entrepreneur en construction. Les projets domiciliaires mentionnés ont été dûment accordés à des entrepreneurs possédant une licence en construction. Alain Pigeon n’a jamais contrevenu à l’article 7 et l’article 46 de la loi sur le bâtiment définissant le rôle d’un entrepreneur en construction. La question qui se pose dans ce dossier est donc la suivante : « Est-ce qu’un individu a la possibilité de mandater un entrepreneur dûment licencié afin d’effectuer des travaux de construction? » Nous croyons, comme des milliers de gens au Québec qui chaque année procèdent ainsi de bonne foi, que oui. De plus, nous tenons à mentionner que M.Pigeon n’a jamais été en situation de conflit d’intérêts dans ce dossier puisque les travaux ont été effectués par l’entremise d’entrepreneurs en construction.
Nous tenons également à ajouter que la FTQ-Construction avait exprimé, préalablement à la diffusion du reportage au journaliste de TVA, ses réserves à l’égard de la pertinence des plaintes déposées à l’encontre de M. Pigeon. Le journaliste et TVA on fait fit de la rigueur journalistique auquel le public a droit et ont choisi de servir d’instrument à une vendetta politique à l’égard de M. Pigeon. « Est-ce qu’au Québec on en est rendu là? On déclare tous le monde coupable avant même d’avoir été entendu! On fait la manchette sur la foi d’allégations frivoles orchestrées par des gens qui veulent vous salir? », s’interroge Alain Pigeon.